Balancée des deux côtés
Maman, Papa, je m’y suis habituée
Habituée
Enfin, ça c’est ce que vous croyez
Grâce à vous, j’ai pris goût au voyage
Tant de fois j’ai fait naufrage
J’ai jamais pris position
Vous n’avez qu’à les garder vos opinions
A plus vous parler, vous détester
Vous avez agis comme des cons
C’est l’heure, les mauvais payeurs
Chacun son égo, ça double les cadeaux
Mais je n’ai qu’un coeur, mon coeur gros
Y’a des nuits, je sais pas où je me lève
J’ai le coeur entre deux chaises
Y’a des nuits, je sais pas où je me lève
Et j’ai peur entre deux rêves
Deux clés, deux chambres, pleines d’espoir
Je me raconte deux histoires
Fêtes de famille, même au téléphone
Le Père Noël me prend pour une conne
Qu’est-ce que j’envie vos photos de famille
Dans la mienne, bah tout déconne
Dans mes rêves, je veux des cris
Combler le silence de mes nuits
Je me demande ce qu’on se serait dit
Si on était restés unis
Y’avait une photo de nous quatre
Quand je croyais qu’il n’était pas trop tard
Y’a des nuits, je sais pas où je me lève
J’ai le coeur entre deux chaises
Y’a des nuits, je sais pas où je me lève
Et j’ai peur entre deux rêves
Papa me dit que c’est bientôt fini
Maman me dit qu’elle m’aime aussi
Qui a raison, qui a tort ?
Quand c’est l’enfant qui morfle
Il n’y a pas de gagnant, pas de plus fort
Quand c’est l’enfant qui morfle
Et quand le couple sera mort
Bah c’est l’enfant qui morfle
Bah c’est l’enfant qui morfle
Bah c’est l’enfant qui morfle
Y’a des nuits, je sais pas où je me lève
J’ai le coeur entre deux chaises
Y’a des nuits, je sais pas où je me lève
Et j’ai peur entre deux rêves
l’enfant qui morfle
le coeur entre deux chaises
l’enfant qui morfle
Et j’ai peur entre deux rêves
l’enfant qui morfle