A l’approche de la fête des mères, j’ai une pensée toute particulière pour ces mamans qui n’auront pas de collier de nouilles, ni de bisous baveux, ni de réveil (bien trop) matinal, parce que la #gardepartagée va les priver de ces douceurs.
Oui, une pensée émue et solidaire envers toutes celles qui ne pourront pas embrasser leurs enfants en cette journée, qui pourtant, leur est dédiée.
J’aimerais leur dire de prendre soin d’elles, qu’elles ont le droit et qu’elles méritent d’être gâtées. J’aimerais qu’elles se souviennent que leurs enfants pensent et penseront à elles, même si ce jour-là, ils ne seront pas auprès d’elles. Qu’elles sont aimées inconditionnellement par ce qu’elles ont de plus précieux au monde.
J’aimerais qu’elles retiennent que : « La distance n’est pas un obstacle mais un beau rappel de la force du véritable amour ».
J’aimerais tant qu’elles ne se refusent pas, en ce dimanche prochain, des joies et des plaisirs, en désespoir de leur absence.
Bien au contraire, j’aimerais tant leur rappeler que ce sont dans ces moments-là qu’elles doivent s’aimer encore plus fort.
{ Et puis j’aimerais leur chuchoter qu’il est possible de relativiser leur peine, en pensant à toutes ces femmes qui ne seront jamais appelées Maman ou celles qui ont désormais le douloureux surnom de « mamange ». Alors quand elles penseront à toutes ces femmes si éprouvées, elles pourront sécher leurs pleurs, parce que le baiser de leurs enfants aura lui, juste quelque retard. }
Alors à vous toutes, maman à temps complet, maman en alternance et mamanges, je vous souhaite une journée parsemée de bien jolies choses, de petits signes, infirmes soient-ils, pour que ceux-ci viennent dessiner un sourire sur vos lèvres ♥
Bien à vous, merveilleuses mamans que vous êtes et ce, à part entière car il n’existe pas et il n’existera jamais de « demi » maman ! Soyez-en assurées ! ♥