Chanson garde alternée : M. Pokora met des mots sur nos vies
Quand on traverse une séparation, on cherche souvent une œuvre qui nous comprend. Cette chanson sur la garde alternée signée M. Pokora (avec Soprano) dit la bascule, les inquiétudes… et l’amour qui reste entier pour les deux parents. Elle résonne avec mon propre témoignage de maman « une semaine sur deux ».
Pourquoi cette chanson touche si juste
Le texte adopte le point de vue de l’enfant, pris entre la valse de maman et le tango de papa. On y entend la solitude des grands, la loyauté impossible des petits, et cette demande simple : « Ne me demande pas de choisir ». L’écriture reste pudique, sans juger, et rappelle que l’histoire des adultes n’enlève rien à l’amour des enfants pour leurs deux parents.
« Maman chante en solo, Papa chante en solo… Et moi je leur fais les chœurs un week-end sur deux. »
Ce que les parents peuvent en retenir
- La garde alternée est un cadre, pas un verdict : l’enfant n’a pas à porter l’histoire de couple.
- Les mots manquent parfois aux adultes ; la musique peut ouvrir le dialogue, sans forcer.
- Répéter à son enfant qu’il n’a rien à se reprocher, et qu’il est aimé « à part entière ».
Si cette chanson t’a parlé, tu aimeras aussi « Adieu » de Jérémy Frérot, une autre manière de traverser la séparation avec des mots justes.
Un extrait court (pour le contexte)
« Allô le monde, si vous saviez… » quelques mots suffisent à dire l’épuisement des grands et le besoin d’air des enfants. Plutôt que de recopier les paroles, je te propose d’écouter la version officielle et de te laisser toucher par la sobriété du texte.
🔗 À écouter aussi : mon texte mis en musique : Moi j’vis en garde alternée.
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