Article | Belle-mère, beau-père, encore le mauvais rôle?

À la recherche d’informations ou de nouveaux modèles, comment être parent dans un monde aussi étourdissant que le nôtre ? Cet été, Le Devoir plonge dans diverses façons de vivre (ou non) la parentalité. Aujourd’hui : être beau-parent dans un monde où la famille recomposée est encore peu visible.

« Ingrat » est le mot qui revient le plus souvent, surtout dans la bouche des belles-mères. Les beaux-parents font les lunchs, guérissent les bobos, réparent les jouets — et parfois les pots cassés de l’ex-ménage. Mais personne ne les a jamais félicités d’être devenus parents.

Et on s’attend encore moins à les entendre considérer les enfants de leur conjoint comme les leurs. La place et l’articulation du rôle des beaux-parents ne sont pas toujours aisées, à l’heure où les familles recomposées sont de plus en plus nombreuses.

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