Syndrome d’aliénation parentale : réponse ministérielle de décembre 2024
Le syndrome d’aliénation parentale (SAP) ❌ reste un sujet de controverse. Ce concept décrit un enfant manipulé pour rejeter l’un de ses parents.
En décembre 2024, le ministère de la Justice a pris position. Il affirme que le SAP n’a aucune validité scientifique. De plus, il précise que ce terme ne doit pas être utilisé dans les procédures familiales.
Pourquoi ce rappel compte
Cette position vise à éviter des dérives psychologiques et juridiques. Elle protège mieux les enfants et les parents. Elle clarifie aussi les repères des professionnels.
Quelles notions privilégier ?
Les juges s’appuient sur des notions reconnues. Par exemple, le conflit de loyauté, l’emprise et les conflits parentaux. Ces repères offrent un cadre plus fiable. Ils aident à comprendre la souffrance des enfants lors d’une séparation.
Un mouvement déjà engagé
En 2021, une résolution européenne a invité les États à écarter le SAP. En France, plusieurs cours d’appel ont suivi cette voie. Elles ont souligné l’absence de fondement scientifique du concept. Cela vaut particulièrement dans les dossiers de violences conjugales.
L’intérêt supérieur de l’enfant, au centre
Le rappel ministériel recentre les pratiques. Il encourage des évaluations fondées sur des outils validés. Il invite aussi à une coopération plus claire entre magistrats, travailleurs sociaux et experts. Ainsi, les décisions se prennent au plus près de l’intérêt de l’enfant 👶.
Pour une analyse juridique détaillée, consultez l’article de référence : la réponse ministérielle décryptée par Village Justice .
Le ministère rappelle que le SAP n’est pas reconnu scientifiquement.